Mercredi 19 octobre 2016 -
Ce matin 7h30, cri d'effroi aux Sapotilles, Marie Paule L essayait consciencieusement de finir son
bol de céréales avec un dernier morceau récalcitrant : C'était un margouillat !
Il devait s'engraisser tranquillement dans le paquet de céréales lorsqu'il s'est retrouvé propulsé dans le chocolat chaud. Les autres ont ri, pas elle. C'est une première, en effet nous avons goûté toute sorte de carry, mais pas au margouillat.
Départ 9h, pour le parking du gîte de Belouve
Après un pique-nique pris au gîte dans un décor luxuriant, nous voilà partis pour 1000m de dénivelé positif pour atteindre le gîte de la "caverne Dufour".
Certains en moins de 5h, d'autres plus.
De luxuriante, la végétation s'est faites plus sèche et plus rabougrie, nous aussi.
Repas 18h30, pour un coucher à 19h30, du jamais vu. Nous étions tous dans la même chambre avec des lits superposés à 3 niveaux.
Le gîte laisse à désirer, pas d'éclairage, de l'eau courante qui ne fait que marcher, des couvertures douteuses, la liste est longue.
au menu : Rougail Saucisses
Nous ne sommes pas là pour le confort, réveil à 2h45.
Pique nique au gîte de Belouve, on n'a pas envie de partir.
Plus que 5 femmes, la gente féminine commence à se faire rare.
Gîte "caverne Dufour", les hommes devant la classique Dodo
Ce matin 7h30, cri d'effroi aux Sapotilles, Marie Paule L essayait consciencieusement de finir son
bol de céréales avec un dernier morceau récalcitrant : C'était un margouillat !
Il devait s'engraisser tranquillement dans le paquet de céréales lorsqu'il s'est retrouvé propulsé dans le chocolat chaud. Les autres ont ri, pas elle. C'est une première, en effet nous avons goûté toute sorte de carry, mais pas au margouillat.
Départ 9h, pour le parking du gîte de Belouve
Après un pique-nique pris au gîte dans un décor luxuriant, nous voilà partis pour 1000m de dénivelé positif pour atteindre le gîte de la "caverne Dufour".
Certains en moins de 5h, d'autres plus.
De luxuriante, la végétation s'est faites plus sèche et plus rabougrie, nous aussi.
Repas 18h30, pour un coucher à 19h30, du jamais vu. Nous étions tous dans la même chambre avec des lits superposés à 3 niveaux.
Le gîte laisse à désirer, pas d'éclairage, de l'eau courante qui ne fait que marcher, des couvertures douteuses, la liste est longue.
au menu : Rougail Saucisses
Nous ne sommes pas là pour le confort, réveil à 2h45.
Gîte "caverne Dufour", les hommes devant la classique Dodo
Les femmes prêtes à aller se coucher ... Pour dormir.
Mais avant il faut passer à table